Sous pretexte de favoriser l’octroi de prêts pour les étudiants, il s’agit en réalité de permettre une hausse brutale et de grande ampleur des droits d’inscriptions à l’université.
Lire la suite de l'article de Sylvestre Huet dans libération
Quelques rapports écrits sur le sujet :
- Faut-il augmenter les droits d'inscription ? de Robert Gary-Bobo, professeur d'économie à l'université Paris 1, et Alain Trannoy, directeur d'étude à l'EHESS. Paru dans la revue française d'économie, janvier 2005.
- Les prêts étudiants peuvent-ils être un outil de progrès social ? de Stéphane Gregoir, directeur du pôle de Recherche en économie de l'EDHEC. Octobre 2008.
Pour rappel, voici un extrait du résumé officiel du dernier rapport de l'OCDE
« Extend the autonomy of universities beyond what has been achieved in 2007, in particular in the area of budget management, recruiting and staff remuneration. Also, while access of universities to grants from private foundations has recently been facilitated, further measures to boost private funding of universities should be taken, including greater use of tuition fees, along with student loans with income-contingent repayment. »
ECONOMIC POLICY REFORMS: GOING FOR GROWTH – ISBN 978-92-64-05277-2 – © OECD 2009
ECONOMIC POLICY REFORMS: GOING FOR GROWTH – ISBN 978-92-64-05277-2 – © OECD 2009
Pinaillerie : ce n'est pas un projet de loi, mais une proposition de loi (les projets de loi sont les textes déposés par le Gouvernement).
RépondreSupprimerA méditer, petit article sur le "marché" (bien lucratif pour certains organismes) de l'enseignement supérieur :
RépondreSupprimer[url]http://www.ouest-france.fr/actu/economieDet_-etudiant-20-ans-35-000-%E2%82%AC-d-emprunt-sur-le-dos-_3634-876980_actu.Htm[/url]